Arrêt du Tribunal cantonal valaisan du 22 février 2019 (C1 16 309)
Une clause d’entrepreneur valable et les conséquences pour le porte-fort
Dans cet arrêt, le Tribunal cantonal valaisan examine la validité d’une clause d’entrepreneur. Le promettant n’ayant pas réussi à faire respecter la clause par un tiers acquéreur, il est tenu de payer au bénéficiaire de la clause des dommages-intérêts correspondant à ceux que le maître de l’ouvrage devrait verser en vertu de l’art. 377 CO. Cet arrêt est l’un des rares exemples où une clause d’entrepreneur s’avère finalement efficace pour son bénéficiaire.
In diesem Entscheid prüft das Walliser Kantonsgericht die Gültigkeit einer Unternehmerklausel. Hat der Versprechende die Einhaltung der Klausel durch einen Drittkäufer nicht durchsetzen können, so ist er verpflichtet, dem Begünstigten der Klausel Schadensersatz zu leisten, wie der Besteller diesen nach Art. 377 OR schulden würde. Dieser Entscheid ist eines der seltenen Beispiele, in denen die Unternehmerklausel letztlich für den Begünstigten wirksam ist.
Les faits
(255) 1. Une société à…